L’anonymat, à Marrakech, a parfois un parfum plus enivrant que n’importe quel bouquet de roses. Sous les palmiers, loin de l’agitation, certains secrets se murmurent à voix basse. Il suffit d’un indice, d’un nom glissé à la volée, pour que la curiosité s’allume. Et derrière l’une de ces portes, une silhouette familière des podiums et des plateaux, Adriana Karembeu, a trouvé son abri. Mais où, exactement ? Jusqu’à présent, la réponse restait un privilège bien gardé.
Pourquoi Marrakech séduit les personnalités comme Adriana Karembeu
Marrakech ne se contente pas d’offrir ses couleurs vives en spectacle. La ville magnétique attire depuis des décennies une faune cosmopolite : artistes, créateurs, têtes couronnées ou simples amoureux du Maroc s’y donnent rendez-vous, fascinés par sa lumière et son énergie. Parmi ceux qui ont succombé à son charme, Adriana Karembeu occupe une place à part. Native de Slovaquie, longtemps installée à Monaco, ambassadrice fidèle de la Croix-Rouge, la star navigue aujourd’hui entre la Méditerranée et le continent africain.
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L’histoire d’Adriana avec Marrakech ne s’écrit pas seule. Avec Aram Ohanian, restaurateur et entrepreneur d’origine arménienne, elle a donné naissance à un projet unique : le Palais Ronsard. Ce lieu, c’est autant une déclaration d’amour qu’un manifeste esthétique. Ensemble, ils y élèvent leur fille Nina, entre influences marocaines, racines internationales et esprit d’ouverture.
Pourquoi poser ses valises à Marrakech ? Parce qu’ici, la discrétion est un art de vivre. La ville offre une multitude de refuges à l’abri des regards, loin de la frime, tout en restant vibrante et inspirante. Ceux qui s’y installent y recherchent :
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- une lumière qui réveille l’inspiration et apaise l’esprit,
- une alliance subtile entre raffinement et authenticité,
- une scène artistique et culturelle en constante effervescence,
- un climat propice à l’équilibre, entre vie publique et moments à l’écart.
Adriana Karembeu a trouvé à Marrakech ce que peu de villes savent offrir : un terrain de jeu pour la créativité, un havre pour l’intime, et un espace pour conjuguer racines et évasion.
Quel est le nom de l’hôtel où séjourne Adriana Karembeu ?
Le prestige n’a pas besoin de s’afficher en lettres dorées. À quelques encablures du tumulte urbain, Adriana Karembeu a choisi de s’enraciner dans un lieu qui lui ressemble : le Palais Ronsard. Cet hôtel de luxe, inauguré en mars 2019, porte la double signature de la star et d’Aram Ohanian. Ici, pas de standardisation ni de tape-à-l’œil, mais une vision : offrir une parenthèse raffinée, façonnée à la main, à contre-courant des hôtels sans âme.
Le Palais Ronsard s’est hissé dans le cercle très fermé des établissements Relais & Châteaux. Un label qui impose l’exigence et promet l’exception : service minutieux, expérience sensorielle, élégance naturelle. Le choix du nom n’est pas un hasard. Il fait écho à la rose Pierre de Ronsard, préférée d’Adriana, omniprésente dans les jardins qui entourent la propriété.
- Localisation : discrètement posé dans la palmeraie de Marrakech.
- Ouverture : mars 2019, impulsée par Adriana Karembeu et Aram Ohanian.
- Relais & Châteaux : gage de singularité et d’excellence.
- Rose Pierre de Ronsard : fil rouge poétique et floral du lieu.
Ce havre discret est vite devenu une adresse de choix pour les voyageurs qui fuient l’uniformité et cherchent cette alliance rare du luxe et de la chaleur humaine.
Un lieu d’exception : immersion dans l’univers de l’établissement
Passé le portail du Palais Ronsard, on retrouve l’équilibre subtil entre art déco, classicisme revisité et inspirations orientales. Cette harmonie n’a rien d’un hasard : Gil Dez et France Ansaldi, architectes d’intérieur, ont imaginé chaque recoin avec un sens du détail remarquable. Les salons lumineux, les suites paisibles, les perspectives sur les jardins : tout évoque une élégance sans artificialité, un rappel délicat des années 1930, mais ancré dans la modernité.
La lumière traverse de larges ouvertures, caresse les matières nobles et révèle des marbres choisis, des étoffes précieuses. Au cœur de la palmeraie, Dominique Rossi a dessiné un jardin de trois hectares, planté de plus de 3 000 rosiers Pierre de Ronsard. Le parfum des fleurs, la vue sur les sommets de l’Atlas, la tranquillité des allées : ici, chaque détail compose une atmosphère unique.
- Décoration signée Gil Dez et France Ansaldi
- Jardins conçus par Dominique Rossi
- Dialogue entre art déco, classicisme et touches orientales
- Un océan de 3 000 rosiers Pierre de Ronsard
Le Palais Ronsard n’est pas qu’une parenthèse élégante. Il propose une immersion totale, un espace où la simplicité sophistiquée des lieux s’accorde à la générosité du paysage. Ici, la beauté ne crie jamais, mais s’impose avec évidence.
Ce que l’on peut vivre sur place, entre raffinement et authenticité
Au cœur de la palmeraie, 28 suites et 6 pavillons privés s’égrènent autour des jardins, certains avec piscine rien que pour soi. Le tumulte du monde s’efface : chaque recoin invite à ralentir, à savourer l’instant. Le spa devient sanctuaire, promesse de hammam, de sauna, de soins sur mesure. Une salle de sport baignée de lumière attend les adeptes du mouvement.
Côté table, la gastronomie tutoie l’art. Le Jardin d’Hiver, sacré plus beau restaurant du monde en 2020 par le Prix Versailles, propose une cuisine orchestrée par Alexandre Thomas et supervisée par le chef étoilé Xavier Mathieu. Les assiettes naviguent entre inspirations méditerranéennes et tradition marocaine, du matin jusqu’au dîner.
- Petit-déjeuner marocain ou continental, à savourer en terrasse ou au jardin.
- Le verger du poète et le pool house : deux univers culinaires complémentaires.
Avec Badar Madnani, maître de maison, l’accueil tutoie la perfection sans jamais verser dans le formel. Mariages, fêtes privées, expositions ou spectacles : le Palais Ronsard se transforme selon les envies, accueillant artistes et voyageurs du monde entier. L’expérience, ici, se vit dans la discrétion, le soin du détail et la sincérité de chaque geste.
Le soleil décline sur la palmeraie, l’air s’emplit d’un parfum de rose, et l’on comprend soudain pourquoi certains refuges, à Marrakech, se transmettent de bouche à oreille. L’adresse d’Adriana Karembeu ne se contente pas d’accueillir : elle offre une promesse de beauté, à l’abri des regards, pour qui sait la trouver.
